Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Des "choses" que certaines personnes sont capables de voir, de ressentir, mais qui ne sont pas du domaine du matériel... Bienvenue dans un monde encore inexplicable scientifiquement.

Le cas Jean-Claude Pantel

Ce jeune homme, sportif, sobre, fréquente pratiquement chaque soir le stade, après son travail et pratique l'athlétisme avec quatre ou cinq de ses amis. Un soir, au sortir du stade, ils reçoivent une grêle de pierres, qui ne les atteignent point. Des semaines durant, les cailloux pleuvent autour d'eux, puis ce sont des lames de rasoir qui "volent" et s'enfoncent d'un demi-cm dans les troncs d'arbres de l'avenue du Prado (ou dans le talon d'une chaussure de Jean-Claude !). D'autres phénomènes paranormaux (déplacements d'objets, apports d'objets, matérialisations, dématérialisations) se succèdent, empoisonnant littéralement la vie de ces jeunes gens et perturbant très souvent leur travail de bureau.

Au cours de très nombreuses soirées passées en leur compagnie, j'ai pu, avec divers témoins et chercheurs (notamment Alain Le Kern, géomancien et rapporteur de l'I.M.S.A.), assister à d'innombrables phénomènes paranormaux, parfois d'une extrême violence.

Un soir, Jean-Claude et ses camarades me rendirent visite et celui-ci, avec réticence, m'avoua n'avoir pas voulu, jusque-là, m'informer d'une étrange rencontre de trois hommes, à la gare Saint-Charles (Marseille), vers lesquels il avait été positivement "téléguidé". Trois hommes qui lui déclarèrent : "Nous ne sommes pas d'ici" (sans autre commentaire) et lui firent part de certains évènements qui allaient se produire... et qui, tous, furent vérifiés ! Ils reconnurent être responsables des phénomènes paranormaux dont Jean-Claude et ses amis avaient à se plaindre. Dans quel but, ces "démonstrations" ? Réponse : Vous comprendrez plus tard.

Un autre soir, en présence de 17 témoins et alors que toute la journée durant Jean-Claude et ses amis avaient été "agressés" par des manifestations paranormales violentes, le voyant Dakis proposa à Jean-Claude de lui confier une "bague de protection" susceptible, peut-être, d'atténuer les effets de ces phénomènes. Nous étions dans un spacieux bureau, Jean-Claude et Dakis assis sur la moquette, en position de lotus, adossés au bureau et je leur faisais face, moi-même assis en tailleur. Nous bavardions, notre position "en lotus" n'impliquant aucun exercice de notre part. Dakis confie donc sa chevalière à Jean-Claude qui la passe à son annulaire et croise les doigts, les coudes appuyés sur les genoux. Et la bague tombe sur la moquette ! Je la ramasse, la restitue à Jean-Claude, qui la remet à son doigt, les coudes toujours appuyés sur les genoux, les doigts croisés. Et de nouveau, la bague tombe, tout comme si elle s'était dématérialisée autour de son doigt et avait "traversé" ses mains jointes pour rouler sur la moquette !

Étrange manipulation de l'espace-temps. Il y en eut d'autres, tout aussi fantastiques. Par exemple, cet ascenseur qui dépose nos jeunes amis dans les sous-sols de l'immeuble X; ils sortent de la cabine dans une obscurité totale, allument un briquet... pour constater que l'ascenseur ne va pas plus bas que le rez-de-chaussée ! Le mur est nu et ils semblent avoir été dématérialisés à travers la matière et rematérialisés en bas, dans le sous-sol ! Ils grimpèrent les marches quatre à quatre, terrorisés, traversèrent le hall du rez-de-chaussée et s'enfuirent, loin de cet immeuble "ensorcelé" !

Le jour du mariage de Jean-Claude, lui et ses parents et amis notèrent la présence, dans l'église, d'une inconnue qui filma, du début à la fin, toute la cérémonie. Nul ne sut jamais qui elle était... sauf Jean-Claude, beaucoup plus tard, informé de son nom : "K...", par les soins de ses "contacteurs". Ces derniers lui apprirent que "K..." avait la charge de le suivre méthodiquement depuis sa naissance.

La répétition et la violence de certains manifestations "paranormales" chez Tony (un ami de Jean-Claude), manifestations qu'Alain Le Kern et moi-même pûmes contrôler, valurent au dit Tony d'être expulsé de son appartement ! Il fut donc recueilli par Jean-Claude et son épouse, en attendant de trouver un autre appartement. Un après-midi, Jean-Claude lisait et sa femme lavait la vaisselle tandis que Tony prenait une douche. Il sort de la salle de bains... et reçoit une gifle monumentale d'une "entité" invisible tandis qu'une "voix" lui ordonne d'aller se doucher ! Il proteste, médusé, argue qu'il vient de faire sa toilette et reçoit une autre giroflée ! Sensible à cet argument convaincant, Tony reprend donc une douche ! Il ressort et le manège recommence, les gifles pleuvent ! (J'affirme sur l'honneur avoir personnellement assisté à la réédition de ces "agressions de l'invisible" en présence d'autres témoins - une dizaine en tout - dont la voyante Barbara 0'Ryan, à Marseille). Et l'infortuné Tony de se remettre sous la douche pour la troisième fois !

Peu de temps avant son expulsion, nous étions une vingtaine de personnes chez Tony (dont Alain Le Kern) et vécûmes quantité de phénomènes parfois d'une rare brutalité. Le "clou" de cette nuit fut sans conteste la porte d'un placard qui, à trois reprises, jaillit hors de ses gonds ! Nous fûmes six à tenter de la "bloquer", de "l'empêcher" de voltiger et 20 minutes durant, elle nous secoua avec une force incroyable. Le même phénomène se répéta chez moi, quelques semaines plus tard, avec la porte à vitre martelée du living ! Et ce, toujours en la présence de Jean-Claude.

Un autre soir, enfin, dînant chez des amis, Jean-Claude déclara ex-abrupto et sans raison : "Je vais chercher du lait." Il revint peu après, l'air bizarre et expliqua : il s'était brusquement retrouvé devant les grilles de la basilique de Notre-Dame de la Garde et avait vu une vieille dame affalée derrière ces grilles. Ses amis eurent du mal à le croire : en un laps de temps aussi court, il n'aurait pas pu, à pied, se rendre à la colline de Notre-Dame de la Garde et revenir (ayant alors tout oublié de son désir d'acheter du lait !). Pourtant, le lendemain, la Presse relatait ce fait divers : victime d'une crise cardiaque, une vieille dame avait été trouvée morte, à l'endroit exact mentionné par Jean-Claude !

Les phénomènes paranormaux "agressifs" et violents ont pris fin, mais l'enquête sur le cas de ce garçon se poursuit et fera l'objet d'un autre ouvrage, voire, peut-être, d'un film...

Jimmy Guieu, CONTACTS OVNI À CERGY-PONTOISE (1980)

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article