Des "choses" que certaines personnes sont capables de voir, de ressentir, mais qui ne sont pas du domaine du matériel... Bienvenue dans un monde encore inexplicable scientifiquement.
Parmi les nombreux cas sur lesquels a eu à enquêter le commandant Tizané, il en est au cours desquels les gendarmes eux-mêmes ont été mis en présence de manifestations du type « esprit frappeur ».
Voici un extrait de procès-verbal du 24 novembre 1943 :
Le gendarme Billoi déclare :
«
une boîte métallique déposée auparavant sur la table, au milieu de la pièce, a été projetée à
Mention dans le P.-V. :
« Le gendarme Folope déclara avoir parfaitement vu une chaussure de femme qui, de létagère où elle état déposée (
(
) Ce même gendarme a vu un couteau se piquer dans le plancher, sous la table, un sécateur et un petit rouleau de fil de fer on eu un mouvement de glissement ou de rebondissement ».
Auparavant, le même gendarme a « constaté que, la jeune A
G
sétant assise sur une chaise, les quatre pieds de cette dernière et les deux siens se soulevèrent semble du sol, en la projetant hors de son siège, comme si des mains invisibles avaient saisi la chaise ».