Des "choses" que certaines personnes sont capables de voir, de ressentir, mais qui ne sont pas du domaine du matériel... Bienvenue dans un monde encore inexplicable scientifiquement.
J'ai reçu cet appel ; il me semble qu'il y a là un échec de la médecine, car l'origine du mal est un acte de sorcellerie.
Comme nous l'avons fait pour Ûma ou Anne-Lise. Plus nous serons nombreuses et nombreux, plus vite Marie-Josée sera délivrée de ce mal.
* Van Fée
Sur la photo que vous voyez là, j'avais 38 ans, j'étais en pleine forme, et après avoir eu mes enfants j'étais restée mince ; j'avais un bon métabolisme.
En avril 1993, à peine plus d'une année après cette photo, je fus la proie d'une « étrange maladie ».
J'avais accompagné ma fille à son examen de musique ; tout s'était bien passé. Nous étions contentes. Soudain, à cent mètres de chez moi, c'était comme si on m'avait coupé les jambes, et une lassitude énorme tomba sur moi d'un seul coup. J'eus le plus grand mal du monde à parcourir ces quelques mètres pour arriver chez moi.
Le lendemain, un samedi, un purpura géant (hémorragies sous-cutanées) partait du haut de mes cuisses, jusque sous la voûte plantaire. Je ne pouvais plus marcher, je descendais l'escalier qui dessert les chambres de l'étage, sur les fesses, marche après marche, toutes mes articulations se bloquèrent, mes doigts restaient crispés, le rein gauche se mit à me faire atrocement mal, j'avais des saignements de nez continuels.
Le dimanche, la situation ne s'améliorait pas, et de surcroît mon époux et mes enfants eurent un accident de voiture, sur la nationale, du fait du refus de priorité d'un autre automobiliste. Si j'avais été dans la voiture à ma place habituelle à l'avant-droit, je serais morte. Par bonheur, les deux enfants étaient à l'arrière.
Le lien entre les deux faits, existe certainement.
Médecins, analyses, hospitalisation sans qu'on ne me donne quoi que ce soit pour apaiser les souffrances… On ne me trouva rien, et je décidai de rentrer chez moi.
Jours et nuits les souffrances étaient là, avec un regain d'intensité, vers dix-huit heures, j'avais l'impression qu'on me plantait des aiguilles partout, et une odeur de souffre se répandait autour de moi. De plus, dans le même temps, les ampoules de la maison se mirent à exploser avec violence, la télévision manqua imploser.
A force de souffrance continue, je ne pus bientôt plus m'alimenter. Il me fallait une heure pour avaler un petit verre de soupe lyophilisée. Ce train de souffrance durait depuis un mois et demi. J'avais demandé à mon époux de faire venir d'autres thérapeutes à mon chevet.
Il ne se décidait pas car à l'hôpital, n'ayant rien trouvé, ils avaient dit que ce devait être psychologique, et mon époux s'en arrêtait là. Je me sentais mourir et j'avais rédigé mon testament. Mon époux se prénomme André. Il se trouve que j'avais eu un ami d'enfance qui avait la maladie bleue, et qui avait fini par en décéder à l'âge adulte ; il portait le même prénom que mon époux. Je lui ai demandé d'influencer André mon époux, pour qu'il fasse venir l'homéopathe. Le lendemain, l'homéopathe était à mon chevet.
Elle me donna un traitement pour agir sur les symptômes, ne connaissant pas la cause de cette étrange et inclassable maladie. Le lendemain du début du traitement, je ne souffrais plus et mes articulations étaient débloquées ; je pus de nouveau marcher et m'alimenter.
Toutefois, mon métabolisme se détraqua totalement. Sans commettre le moindre abus de nourriture, je me mis à enfler ; les régimes les plus sévères, la gym… Mes efforts sont inutiles et je ne supporte plus mon reflet.
Mon ventre est très enflé, mon visage, mon cou sont très enflés ; on dirait que je suis infiltrée de cortisone, mais je n'en ai jamais pris et les analyses médicales ne donnent rien. Ce ventre très gonflé même si je mange très peu, nuit à ma colonne vertébrale. L'ostéopathe dit ne rien pouvoir faire tant que mon ventre ne désenfle pas.
Or, si on a agi sur les symptômes, depuis 1993 la cause est toujours là.
J'ai fait les rapprochements et découvertes qui suivent :
- Quelques jours avant que cette « maladie » ne me tombe dessus, j'ai trouvé devant ma porte d'entrée un os ancien, qui me sembla être un os long de l'avant-bras d'un enfant.
J'ai poussé du pied cet os jusque dans la rue.
Il se trouve qu'une femme qui était en location dans le lotissement, passait devant chez moi en essayant d'aguicher mon époux lorsqu'il était dehors, ce dont mon époux n'avait rien à faire du reste. Elle avait deux chiens qui vagabondaient et l'un d'eux m'avait agressée devant chez moi, ce dont je m'étais plainte à son propriétaire.
Bref, cette femme m'en voulait.
Il se trouve que sur ces entrefaites, le propriétaire embaucha un ouvrier qui était un ange sur la terre. Nous étions en bons termes, et lorsqu'il repartit deux ans plus tard, il vint me dire adieu.
La mégère avait quant à elle déménagé. Dans la conversation, il me dit que cette femme était un vrai démon ; un jour qu'il lui apportait une quittance de la part du patron, il vit sur sa table des poupées d'argile qu'elle piquait, et il eut l'idée sans oser m'en parler, que l'une d'elle me concernait.
Si la médecine ne peut rien pour moi, j'ose vous demander de mettre en œuvre l'énergie de lumière, pour que s'éloigne la prégnance maléfique placée sur moi depuis avril 1993. En agissant par la lumière sur une cause maléfique, vous rendrez aussi justice à la lumière.
Vous pouvez regarder cette photo et demander à la lumière que je sois délivrée de ce mal, et que je redevienne comme sur cette photo, que je retrouve un métabolisme sain, que je désenfle du visage, du cou, et du ventre ; vous pouvez si Van le veut bien appliquer la même méthode que pour Ûma.
Merci d'avance, de me délivrer du mal par vos pensées positives. Ces quelques secondes chaque jour, me feront du bien.
Merci d'avance à toutes et tous, où que vous soyez sur la terre. Merci de lutter contre le mal en m'aidant, et merci à Van.
Marie-Josée