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Des "choses" que certaines personnes sont capables de voir, de ressentir, mais qui ne sont pas du domaine du matériel... Bienvenue dans un monde encore inexplicable scientifiquement. Comme vous pouvez le voir, une fidèle du blog est devenue mon associée : Passiflore ! Nos articles vous plaisent et vous voulez mettre un lien sur votre blog/site ? Merci de nous le faire savoir par courriel.

Enlèvement extra-terrestre

Près de Lyon en 852

Nous avons vu ce qu'il advint en l'an 800, mais quelques décennies plus tard, en 852, Agobard évêque de Lyon, mentionne une autre visite extra-terrestre, avec cette fois enlèvement temporaire de lyonnais, et transport dans les airs jusque sur une autre planète, afin de leur communiquer un message pacifique. Voici l'essentiel de cet événement :

 

Nous sommes donc en 852, sous le règne de Louis le débonnaire, en été par temps de canicule. Des lyonnais en quête de fraîcheur au bord du Rhône, sont stupéfaits par ce qu'ils voient. Bien vite, tous les citadins sont témoins de la même vision.

Au-dessus d'une prairie, à hauteur de trois maisons, une chose inconnue flotte dans l'espace, immobile, silencieuse. Qu'est-ce donc ? Un char ? Un vaisseau ? Une bête ? Nul ne le sait ! La chose se met à descendre lentement vers la prairie.

Epouvantés, les lyonnais tombent à genoux. Très doucement, la chose se pose à terre. Terrifiés, les lyonnais n'osent pas bouger. Un long temps s'écoule.

Une porte s'ouvre, un escalier se déplie et des êtres humains, trois hommes et une femme vêtus comme les lyonnais, descendent en se soutenant mutuellement.

Ils titubent, hébétés. Ils parcourent une cinquantaine de pas.
L'escalier se replie, la porte se referme et la chose, toujours silencieuse quitte le sol et s'élève lentement. A une centaine de pieds, elle fait brusquement un bond prodigieux dans le ciel et disparaît derrière les nuages. Les quatre personnes débarquées se laissent tomber à terre, à la limite de leurs forces.

La femme pleure et ses membres sont agités de tremblements.
Les lyonnais se sont relevés et certains disent que les gens débarqués sont des sorciers. L'un des débarqués dit alors :

           - Nous ne sommes pas des sorciers, nous sommes d'un village voisin. Nous avons été enlevés par des génies… N'ayez pas peur de nous, secourez-nous, cette femme est malade. »


Ils donnent le nom de leur village. On les emmène dans une maison où on les couche, après leur avoir fait boire un vin frais aromatisé. Quelques heures plus tard, l'un des hommes est à même de conter leur aventure :

           - Nous étions tous les quatre dans un champ, quand cette chose que vous avez vue est descendue du ciel et s'est posée près de nous.
Des êtres semblables à des hommes en sont sortis et nous ont appelés. Nous étions paralysés par la peur. Ils nous ont invités à monter dans leur navire aérien, disant qu'ils voulaient que nous sachions qu'ils n'étaient pas malfaisants.

Nous les avons suivis et la chose s'envola. Nous étions derrière des fenêtres rondes par lesquelles nous pouvions voir la terre au-dessous de nous. Nous avons vu des campagnes, des rivières et des villes, puis nous sommes entrés dans un brouillard et brusquement nous avons cru être en paradis.
L'un des génies nous dit que nous étions au-dessus des nuages.

Ensuite, nous avons dormi et à notre réveil, nous nous sommes aperçus que la chose s'était posée dans un pays inconnu.

Le génie qui s'occupait de nous est venu nous chercher et nous a emmenés dans un palais où se trouvaient des femmes très belles. Puis il nous a fait visiter la ville et nous sommes remontés dans la chose, mais avant de revenir on nous a promenés en divers endroits de la Terre.


Nous nous sommes posés dans des pays de glace et dans des pays de sable où il fait une chaleur torride. Avant de nous laisser partir tout à l'heure, le génie nous a dit :

           « - Racontez aux autres hommes ce que vous avez vu, et dites-leur que nous ne leur voulons pas de mal, que nous ne venons pas pour jeter du venin sur leurs fruits, empoisonner leurs fontaines, exciter les orages ou faire tomber la grêle sur leurs moissons… Dites-le pour que vos rois le sachent. »


De nouveau, on les traita de sorciers, ou d'envoyés par l'ennemi du moment, Grimoald, duc de Bénévent et on apprêta un bûcher pour les quatre ramenés du ciel. On leur fit faire le tour de la ville, on les insulta, on leur lança des pierres. Alerté, l'évêque demanda des explications.

Après avoir entendu la foule, il demande aux accusés en voie d'être brûlés vifs, de raconter derechef leur aventure. Lorsqu'ils ont de nouveau fait leur récit, Agobard interdit à la foule de les brûler :

           -  Ces trois hommes et cette femme ne sont pas des sorciers. Pour la simple raison qu'ils mentent, qu'ils ne sont jamais allés se promener dans les airs, car de tels faits sont impossibles

           - Mais nous les avons vus descendre du ciel, dit quelqu'un.

           - Eh bien, vous avez tous eu la berlue ! reprend l'évêque…

Pendant trois quarts d'heure, il leur expose toutes les raisons qu'on a de ne pas croire à un tel prodige. Il ajoute :

           - D'ailleurs, ceux qui affirment en avoir été les témoins pourraient bien risquer eux-mêmes, d'être considérés comme des sorciers…


Il n'en faut pas plus pour que les lyonnais déclarent avoir eu un rêve, relâchent les quatre voyageurs malgré eux, lesquels purent rejoindre leur village. Tous se turent leur vie durant par peur du bûcher !

Ces faits sont relatés par l'évêque de Lyon Agobard lui-même, dans un traité intitulé : «  De la grêle et du tonnerre. » (Archives nationales).

Dix ans plus tôt, en 842, au moment du siège d'Angers par le roi Charles le Chauve, les angevins virent dans le ciel « d'étranges créatures ».

On comprend à la lecture des témoignages qu'il s'agissait d'engins volants. Tout cela pour dire que l'explication donnant une origine extra-terrestre au peuple cagot, trouve sa plausibilité dans de tels faits, attestés par des milliers de témoins, et relatés par les évêques et chanoines, eux aussi témoins ! Je relève que nos lyonnais enlevés n'eurent aucun mal à comprendre ce que leur disait leur hôte. On peut songer à une communication de type télépathique.

 

Notons encore le phénomène considérable (qui fera l'objet d'une autre page) qui se déroula de nuit le 12 octobre 1621 au-dessus de Lyon, devant des milliers de témoins, un phénomène similaire peu après à Nîmes, des faits comparables un an plus tôt, en 1620 au-dessus de Genève. Des origines supposées des cagots, celle raccordée aux étranges faits de l'an 800 et des années postérieures, est l'unique étayée par des chroniqueurs d'époque, tant en l'an 800, que lorsque de nouveaux arrivants par voie des airs, s'installèrent dans des conditions qui perdurèrent. Chacun peut se forger son opinion !

 

Rationnellement parlant, des faits mettant en relief des O.V.N.I sont attestés, notés par des gens crédibles tels des évêques et des chanoines, et certains de ces faits corroborent l'hypothèse d'une origine extra-terrestre du peuple cagot.

Les différences physiques reprochées aux cagots correspondent justement à celles des êtres descendus du ciel et crucifiés en l'an 800, la patte d'oie comme insigne, peut en référer à des membranes entre les doigts,le fait que ce peuple doive se voiler indique qu'à l'origine, leur physique différent effrayait.

 

Lyon fut semblerait-il, un lieu apprécié des extra-terrestres.

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M
Bonsoir Van,Puisque les évènements de l\\\'an 800 ne sont pas indiqués, les voici en résumé, sachant qu\\\'ils sont mentionnés au capitulaire de Lyon de l\\\'an 800, année du couronnement de Charlemagne. Des gens qui travaillaient dans les champs en bord de Saône, furent soudain effrayés de voir arriver des objets volants qui n\\\'étaient pas des oiseaux. Le premier mouvement des paysans, fut de ce cacher devant cette diablerie d\\\'autant que les engins se posèrent et des individus d\\\'apparence globalement humaine en descendirent. En fait, ils n\\\'avaient pas de pavillons d\\\'oreilles, et leurs mains et pieds étaient palmés. Comme en plus ils ne parlaient aucune langue connue, passée la première frayeur, on s\\\'empara de ces inconnus pris pour des démons, on les cloua sur des planches de bois qu\\\'on jeta à la Saône, vouant ces E.T à une mort certaine, en disant à peu près :"-Comme ça les démons ne reviendront plus gâcher nos champs !"Quelques années plus tard, en diverses contrées, on vit s\\\'installer des populations sans pavillons (ou lobes) d\\\'oreilles, avec pieds et mains palmés. L\\\'Eglise ordonna qu\\\'on ne les tue plus, et leur ordonna de vivre à part, de se cacher le visage et le corps en se couvrant d\\\'une sorte de burka portant un large insigne à patte d\\\'oie les désignant de loin, de ne pas toucher les aliments destinés à autrui, de ne pas contracter union avec des chrétiens ordinaires, de n\\\'exercer que le seul métier de charpentier. Ces peuples venus du ciel, seraient-ils les ancêtres des cagots, ces charpentiers attitrés de l\\\'Eglise, et cependant parias portant ladite burka à patte d\\\'oie ? Au siècle de Louis XIV,  qui les affranchit, les cagots étaient toujours régis par les mêmes dispositions d\\\'apartheid. (Voir le roman historique : "Le Captif de Saône" par Marie Roca, chez Ormhael Publication. Sur commande en FnAC)
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F
>> Bonjour Marie !<br /> Je mets la suite aujourd'hui (06/09/2006). J'ai préféré coupé en deux ce que tu m'as envoyé ;-). merci  ! *Van