Coïncidences et signes

19.01.2007

Bonjour,

Voici un "petit" résumé, c'est un peu long mais nécessaire pour voir toutes ces synchronies. Vous aussi, soyez attentif, nous recevons tous des signes.

Tout a commencé en mars 2005, j'avais démissionné de mon ancien travail le 31 janvier de cette même année car j’avais l’ambition de donner un nouvel élan à ma carrière professionnelle. Je souhaitais faire carrière dans le milieu bancaire; je n’avais aucune expérience dans le domaine ni aucun diplôme adéquat.
Je cherchais donc une formation à faire en alternance, mais après diverses et vaines tentatives, je commençais à baisser les bras et à déprimer un peu.
En mars 2005, je commençais à « voir » comme des flashes et je « voyais » une enseigne : afpa. Quelque chose me disait d’écrire à l’afpa; cela revenait sans cesse dans ma tête. Si bien que je pensais : "Mais non, je n’ai pas envie d’écrire à l’afpa, ils ne font pas ce que je souhaite faire". Et pourtant l’idée m’envahissait l’esprit. Ensuite quelque chose me disait : "Attend le mois de mai".
Et début mai, je reçus un appel d’une agence d’intérim pour aller bosser... à l’afpa. Je devais y travailler 15 jours, j’y travaillerais 5 mois.
Nous sommes toujours au mois de mai 2005. J’étais dans la salle de bain en train de prendre un bain et j’écoutais la radio, quelque peu sidérée de cette coïncidence. Je remerciais le ciel de cette aide et ma pensée se mise à vagabonder et je ne sais pas pourquoi, je me mis à penser à Fabrice et je commençai à prier pour lui.
Je me mis à prier en espérant qu’un jour, je puisse le revoir même dans un autre monde. Et soudain, à la radio, au même moment, une chanson était diffusée et c’est comme si quelque chose me disait : "Ecoute", et en écoutant les paroles, je constatai que bizarrement elle répondait à ma demande.
Voici des extraits des paroles : « Pense à moi comme je t’aime et tu me délivreras, tu briseras l’anathème qui me tient loin de tes bras, pense à moi comme je t’aime rien ne nous séparera, même pas les chrysanthèmes tu verras on se retrouvera… »
« Promets moi si tu me survis d’être plus forte que jamais je serais toujours dans ta vie près de toi je te promets… »
« N’oublie pas ce que je te dit l’amour est plus fort que tout… »
Le plus dingue c’est que les jours qui suivront (pendant une semaine environ), à chaque fois que je prendrais mon bain et que j’allumerais la radio, je tombais à chaque fois sur cette chanson.
Je demandai donc à voix haute : "S'il y a quelque chose qui veille sur moi, je veux une preuve de sa présence." J’achetai donc un bouquin qui concernait une enquête sur l’existence des anges gardiens, et le plus dingue, c’est que dans ce bouquin, il était question d'un prêtre qui défendait l’existence des anges gardiens. Il se prénommait Ruffin. Et quand je m'étais pointée pour aller bosser à l’afpa, mon responsable s’appelait lui aussi Ruffin. Même nom, même orthographe !

Et puis vers le mois de juin, il se passa quelque chose de vraiment étrange. C’est une petite parenthèse, je ne m’attarde pas dessus, mais il me semble avoir vu deux fois le visage de Fabrice apparaître sur mon écran de télévision. Mon ami qui était à côté de moi n’avait rien vu. Moi j’avais sursauté dans le canapé. Mais je devais peut-être somnoler à ce moment-là.
Seulement au moment où ça c’est passé, c'était comme si on captait mon énergie ou fortement mon attention, je ne saurai décrire cette drôle d’impression. C’est comme si je « glissais » sur un autre plan mais vibratoire. J’ai même eu un peu de difficulté à m’en détacher, je me débattais avec ce que j’étais en train de voir.

Puis en octobre, je commençai à avoir des flashes. Je voyais sans cesse une enseigne bancaire : c’était une étoile bleue, et ça a recommencé à m’envahir l’esprit de nouveau. Quelque chose me dictait de les contacter et je ne l’ai pas fait non plus.
En allant « par hasard » sur Internet, j’ai fait un jeu. Cela concernait ma prochaine rencontre avec mon ange gardien et le prochain rendez-vous serait le vendredi 18 novembre.
Et ce fameux 18/11, je reçois un appel de cette même agence d’intérim pour aller bosser dans cette fameuse banque que je « voyais en flashes » depuis déjà un bon mois.
A cette époque j’aurais aimé revoir ma meilleure amie d’enfance. Elle était coiffeuse et toujours par un pur « hasard », en prenant un dossier, je tombai sur son dossier de prêt. Je le consultai pour trouver son adresse et il se trouvait qu’elle tenait un salon de coiffure à 50 mètres de mon lieu de travail ! Je ne l’avais pas revue depuis douze ans tout de même.

Plusieurs fois par jour, je tombais sur des dossiers de clients qui se prénommaient Fabrice. Si bien que je faisais attention à tous les prénoms que je rencontrais, mais Fabrice tombait plus souvent que la moyenne.
Toujours dans cette fameuse banque, je rencontrai une fille, elle aussi intérimaire. Elle était du signe du sagittaire et elle traversait une période difficile dans sa vie sentimentale. Je lui dis que tout s’arrangerait, qu’il suffisait de croire en la protection de quelque chose et de demander de l’aide par la prière.
Parfois des événements négatifs au premier abord sont parfois nécessaires pour en « tirer une leçon », mais elle n’était pas ouverte à ce genre de chose. Je demandai donc de l’aide à son ange gardien. Elle m’envoya un message quelques mois plus tard, me disant que tout s’était arrangé. Elle avait passé une dure épreuve, mais qu’elle était plus heureuse qu’avant.

Mon contrat de travail dans cette banque devant se terminer le 28/02, je reçus un appel de l’afpa pour aller y travailler dès le 01/03 !
Début avril 2006, je me rendis à l’agence d’intérim avec laquelle je travaillais depuis mai 2005. Depuis quelque jours déjà, et en rentrant, j’eus un flash d’une autre enseigne bancaire; et dans les minutes qui suivirent on me proposa une mission pour aller travailler dans la banque que je venais de voir en flash. Je devais y travailler une semaine, en fait j’y bosserai quatre mois.
Je travaillai avec une dame pendant quelque jours, le temps qu’elle me forme. Elle était en train de m’expliquer ce que je devais faire, quand le téléphone sonna. Quelle ne fut pas ma surprise quand je l'entendis : « Je fais le nécessaire, Mr AUBERT. »
Or, il se trouve que c’est le nom de famille de Fabrice !

Quelques jours avant, j’avais regardé la télévision, et au moment où j'allumais, une dame était en train de parler et son nom de famille apparut à l’écran, AUBERT.
Le jour de la Sainte-Valérie, j’étais en train de me diriger vers ma voiture en pensant que personne ne m'avait souhaité une bonne fête, et comme par « hasard », je monte dans ma voiture, j’allume la radio et c’est juste la chanson (dont j’ai parlée au début du message) qui passe au même moment !
Le jour de mon anniversaire, le 13/09, je fus convoquée pour passer un entretien en vue remplacer une assistante de direction. Je fus retenue pour le poste. Le 18/09, je me pointe au travail, l’assistante allume son ordinateur pour m’expliquer ce qu'elle fait, et le premier courriel qui apparaît est une pub pour une enseigne qui s’appelle AUBERT !
Aussi je suis retournée travailler depuis début novembre 06 (jusqu’au 30/03/07) dans cette fameuse banque (avec la petite étoile bleue en guise d’enseigne).
Et là je rencontrai une autre intérimaire qui, elle aussi, est du signe du sagittaire. Je m’entends très bien avec elle. C’est la première personne que je rencontre qui est ouverte sur les sujets du paranormal et autres. Il se trouve que c’est une très bonne amie de la personne qui s’occupe de mon dossier et qui travaille dans l’agence d’intérim dont je dépends. Autre coïncidence.
Pas plus tard qu’hier, je pensai à Fabrice et quelque minutes après, une chanson était diffusée à la radio, c’était Jean-Louis AUBERT. Le titre de sa chanson était : « Il y a un monde ailleurs ».

Voilà c’est long mais c’est incroyable, j’en ai oublié mais je pense à tenir un petit cahier pour les noter. Il y a deux ans encore, je n’aurais jamais cru penser à une aide extérieure ou à des petits coucou de quelques décédés…

>> Bonjour Valérie, et merci d'avoir envoyé votre témoignage. Les coïncidences, le hasard n'existent pas.

Nos proches disparus viennent de temps en temps nous faire un petit coucou par l'intermédiaire de petites choses qui viennent s'ajouter dans notre quotidien. Ils peuvent aussi venir dans nos rêves. *Van