Des "choses" que certaines personnes sont capables de voir, de ressentir, mais qui ne sont pas du domaine du matériel... Bienvenue dans un monde encore inexplicable scientifiquement.
Une histoire consignée à Scotland Yard, et qui se déroula dans les années soixante, en plein Londres.
La conductrice ne put éviter cet homme subitement apparu devant son capot, d'ailleurs tous les témoins le disent : l'homme n'était pas un piéton qu'on vit s'engager pour traverser, mais il apparut d'un seul coup devant le véhicule, comme surgi du néant !
Tant de témoins disant la même chose, la conductrice est forcément disculpée.
Etrange personnage, extravagant par ses vêtements, redingote et chapeau haut de forme, canne à pommeau, bref, une façon de se vêtir,
de la fin du 19ème siècle. Ce doit être un acteur. Il suffit de vérifier ses papiers... des documents jaunis, du siècle dernier. Qu'est-ce que cette farce ?
Après moults vérifications il s'avère que les papiers de l'individu, sont de vrais papiers d'identité du 19ème siècle.
Le farceur se sera suicidé avec un pied de nez, en prenant sur lui les papiers et les fringues d'un aïeul !
On en a vu d'autres à Scotland Yard, alors on cherche si une personne disparue correspond au signalement. On n'en trouve pas, du moins de ce siècle, car un inspecteur se posant un peu plus de
questions, va fouiller les archives, vous savez, à cette époque, des endroits plein de poussière et de petites bêtes, en sous-sol.
Une fiche du siècle dernier correspond bien à l'identité et au signalement du jeune homme, sorti un soir acheter du tabac, mais qu'on
ne revit jamais... Jusqu'à ce qu'il réapparaisse soudain, près de quatre-vingt dix ans plus tard, devant les roues d'une automobile, en pleine circulation londonienne !
L'hypothèse des mondes parallèles, avec des brèches spatio-temporelles s'ouvrant parfois, de manière aléatoire, pourrait fournir une
explication à ce cas, mais bien entendu, ce ne serait pas rationnel, alors, on classe le dossier, sur un point d'interrogation.
Toutefois, certaines disparitions contemporaines d'individus, peuvent laisser entrevoir la plausibilité d'une telle
hypothèse.
Ainsi, deux cas dont j'eus connaissance en Isère me semblent pouvoir relever d'une telle transposition soudaine dans un autre corpus spatio-temporel.
Tout d'abord en 1988, un retraité de 71 ans, époux d'une ancienne voisine, disparut d'étrange
manière. C'était un homme d'habitude, se levant tôt, allant chercher pain et journal vers 7 heures puis apportant le petit déjeuner au lit à son épouse.
Ce matin là, il se leva à l'heure habituelle et son épouse se rendormit; toutefois, lorsqu'elle s'éveilla de nouveau, elle fut surprise qu'à cette heure, son époux si fidèle à ses habitudes, ne l'ait pas éveillée en lui apportant café et tartines.
Lorsqu'elle se leva, elle comprit définitivement que quelque chose n'allait pas. La veille, il faisait beau, et il avait donc mis une chemisette d'été; mais aujourd'hui, il tombait des cordes, et il avait remis la chemisette d'été.
Ses lunettes, son dentier, son porte-monnaie étaient restés en place.
Il ne serait jamais sorti sans dentier ni lunettes.
Inquiète, elle partit à sa recherche, mais ni le boulanger, ni le buraliste ne l'avaient vu.
Sans perdre davantage de temps, elle signala la disparition inquiétante, et comme l'un de ses neveux était dans la police, on dérogea au principe qui veut que pour un adulte, on ne commence l'enquête qu'au bout de 48 heures.
Les chiens ne flairèrent rien; certes, il pleuvait.
Nul n'avait vu le retraité. On fouilla la moindre cave, le moindre buisson et on sonda l'Isère qui n'était pas loin, mais jamais on ne trouva ni le corps, ni le moindre indice sur la
disparition de ce retraité, comme s'il s'était évaporé.
Il peut avoir disparu à l'extérieur, mais aussi avant d'avoir eu le temps de finir de s'apprêter, dans son appartement, ceci expliquant dentier, lunettes et porte-monnaie restés en rade au domicile.
Je ne me souviens pas si en cas, la porte d'entrée était ou non encore fermée à clé, ce qui a son importance en ce cas précis.
La disparition en montagne d'un petit garçon de 6 ans, peut amener à la même conclusion; le père et un couple d'amis, avaient décidé de camper en un lieu précis.
Le père dressait la tente, tandis que les amis et le petit garçon allèrent chercher du bois, non loin, mais l'enfant voulut retourner
vers son père, et comme c'était tout près en ligne droite, sans autre chemin, ils le laissèrent aller seul, mais personne ne le revit jamais.
En pleine montagne, il n'y a aucun risque pour que l'enfant ait été victime d'un sadique, car tout kidnappeur serait forcément passé
par le chemin où était le père de l'enfant, ce chemin étant le seul.
Là encore, la montagne fut passée au crible fin, mais rien, pas un indice, pas de corps, or l'enfant n'aurait eu à parcourir que quelques mètres seulement le séparant de son père.
Pour ces deux cas, je me demande si ces deux personnes, le vieil homme et le petit garçon, n'ont pas été aspirés dans un "ailleurs",
dans lequel le temps ne se déroule pas à la même allure, et s'ils réapparaîtront à l'endroit de leur disparition, sans avoir changé d'apparence, dans 90 ans.
Imaginez ce petit de six ans, réapparaissant seul dans la montagne, dans quelques décennies, pensant qu'un court instant vient de
s'écouler, cherchant son père, tandis qu'à notre mesure, près d'un siècle aurait tracé son sillon...
>> Bonjour Marie, et merci de m'avoir fait parvenir ce que tu as "entendu".
Eistein a une théorie propre sur les mondes parallèles. On se dit "et pourquoi ça n'existerait pas ?" *Van